Depuis 2008, les entreprises suisses soumises au contrôle ordinaire ou restreint sont légalement tenues de donner tous les ans des renseignements relatifs à l’exécution de l’évaluation des risques (CO 663b).
Cette évaluation est une condition sine qua non à toute bonne gestion d’entreprise. Toutefois, cette revue une fois faite peut faussement donner un sentiment de sécurité alors que la loi de Murphy nous enseigne que « c’est en imaginant que plus rien ne peut nous arriver que tout peut nous tomber dessus » (« loi de l’emmerdement maximal »).
Il est donc également essentiel de se préparer à affronter l’imprévu ayant potentiellement un impact majeur sur la pérennité de l’entreprise : la crise.
Il ne s’agit donc pas seulement d’anticiper et de déployer des mesures de mitigation des risques identifiés, mais bien de s’organiser et de se préparer à affronter l’imprévisible.
La crise donne lieu à
Crise vient du grec CRISIS qui veut dire décider, faire un choix.
Une fois que la crise surgit, il est trop tard pour s’organiser. La panique et la cacophonie menacent.
Bien que la crise soit imprévisible, il est possible de s’y préparer. Il s’agit alors
Cela passe par la mise en place
Au fil de leurs expériences, les états-majors des armées et des polices ont élaboré des bonnes pratiques dont les entreprises devraient s’inspirer pour se préparer à gérer le pire.
Philippe Lorenz, partenaire associé d’Enatis, est certifié en gestion de crise par l’académie de police de Savatan. Il est en mesure d’accompagner toute société désireuse de se préparer à affronter une crise.
Intéressé par nos articles et développements ? Abonnez-vous à notre page LinkedIn.
Voulez-vous en savoir plus sur comment Enatis peut vous soutenir dans vos développements ? N’hésitez pas à nous contacter, sans engagement.